Cet article est paru en premier sur https://www.facebook.com/DominiqueReynie/
https://scontent-dus1-1.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/345619139_651649636798615_224078100306325285_n.jpg?stp=dst-jpg_p720x720&_nc_cat=109&ccb=1-7&_nc_sid=730e14&_nc_ohc=nmLmnAUsyvUAX93Z596&_nc_oc=AQnqtSYPah1fHUD_NiUNdmRcCdbvjZV5G_8jqwJaDknhLKsm3LNqmwp07XJxwJLsh9Q&_nc_ht=scontent-dus1-1.xx&edm=AJdBtusEAAAA&oh=00_AfBvfAREPs3GlO3J5ungAMyhI5FKYw3RZO5NZDiK4X5BgA&oe=6473A2B9
Nouvelle étude de la Fondation pour l’innovation politique | « De la transition écologique à l’écologie administrée, une dérive politique » (bit.ly/3ptWxiE)
David Lisnard et Frédéric Masquelier alertent sur le risque d’un pouvoir écologique de type bureaucratique, voire despotique, générant continûment son propre déploiement normatif, sans contrôle, sans lien avec des préférences collectives électoralement exprimées, et particulièrement perméable aux idées radicales de la « collapsologie ». Les auteurs montrent qu’ainsi comprise, la transition écologique produit des résultats toujours plus éloignés des réalités locales, ce qui engendre de nombreux dysfonctionnements, entrave le développement de nos collectivités locales et alimente de vives tensions dans les secteurs et les segments de la population qui sont directement affectés par des régimes d’autorisation, de contrôle ou de surveillance de plus en plus stricts.
Soyez le premier à commenter